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 Cassiopée Winterfall.[finit]

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Cassiopée Winterfall

Cassiopée Winterfall




Messages : 1
Date d'inscription : 20/12/2017

Cassiopée Winterfall.[finit] Empty
MessageSujet: Cassiopée Winterfall.[finit]   Cassiopée Winterfall.[finit] Icon_minitimeMer 20 Déc 2017 - 20:54

mon avatarWINTERFALL CASSIOPÉE

Feat Chigusa Tokiko de Cartagra

l'ombre désirant du sang

  • prénom(s)CASSIOPÉE
  • nomWINTERFALL
  • sexeMasculin
  • âge25 ans
  • date de naissance31 décembre 1992
  • Pouvoirs - Corps intemporel (ne peut vieillir)

    - Possède un charme surnaturel. L’effet est plus important sur les personnes faibles d’esprit, pouvant atteindre un faux sentiment d’amour dans les cas les plus extrêmes. Le charme semble marcher sur les deux sexes.
  • Race SURFACIEN – vagabond -Devenu onoscèles
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caractère

Le reflet de l’âme …

Devrais-je rire ou pleurer devant cette question idiote de qui je suis. Je n’ai plus foi en l’humanité, je ne me pose pas la question de pourquoi je suis ici. Je prends ma nouvelle condition comme un châtiment de ma naïveté.

Tout cela parce que mon âme me crie que je suis une femme et ai voulu tout mettre en œuvre pour m’approcher de ce désir.

Je me pensais bien plus forte que cela, je ne pensais pas être si sensible à un coup de poignard.  Je n’ai guère goût à la vie, tout me parait fade, si fade que cela irrite ma gorge et me rappelle ma condition, me faisant plonger toujours davantage dans ses ténèbres où la folie m’enlace de plus en plus fortement, me sentant commencer à étouffer.  Je n’attends pas de lumière pour me sauver, craignant que cela ne soit qu’un phare au loin et qu’une lance vienne se ficher pendant ce vain espoir.  Cette envie de chair et de sang ne m’aide pas à rester sereine, bien au contraire, elle ne fait que m’enfoncer davantage dans ma propre tombe, tentant de lutter comme je peux contre cette nouvelle nature que je suis devenue. Je ne sais pas si je dois bénir ou maudire l’être qui a décidé de mon destin ici. Souhait-il me donner une seconde chance ? Me damner ? Je ne sais pas et je ne le saurais certainement jamais. Je tremble, je tremble de peur, me noyant presque sous de désespoir qui ne cesse de me ronger, centimètre par centimètre. Je suis devenue une monstruosité, personne ne pourrait m’approcher sans prendre le risque que je ne bascule et ne m’abreuve de son sang.

Je tremble de peur devant tout cet inconnu qui m’entoure. Je me ratatine dans l’obscurité, me faisant aussi petite que possible pour éviter que l’on ne me remarque, me dévisage et que l’on tente de me tuer.  J’ai frôlé la mort une fois et cela m’a amplement suffit.

Sourire et même parler m’est difficile, cette blessure dans mon âme est tellement profonde et fraîche que lorsque je tente, mon visage me semble aussi dure que du béton, ma voix aussi lourde que le plomb. Je parais sans doute associable, pourtant je pourrais donner des coups de main, tant que je n’ai pas à parler. Je ne peux rester insensible devant l’injustice, cela me montre mon état et si, sur moi, cela n’a guère d’importance, sur autrui cela fait bouillir une haine dans mes veines. J’évite ce genre de situation, car je pourrais certainement blesser quelqu’un, un arme ou un objet peut suffire, mes dents et mes ongles pouvant aussi être utilisés.

Je ressens comme un appel quand je vois des armes, comme s’ils me demandaient de les brandir et chercher le sang tant convoité. C’est pour cela que j’évite d’être armée, qui sait ce que je pourrais faire avec. Je lutte contre ma nouvelle nature, mais je sais que seule je finirais par sombrer, peut être qu’une âme charitable finira par me libérer de mon état, aussi terrifiée je sois de la mort.  

Je ne sais pas si je dois combattre, contre qui ? Contre quoi ? Tout cela me taraude l’esprit. Ma nature va-t-elle être utilisée pour combattre, car se rapprochant des vampires, je serais certainement de la bonne chair à canon.  
mon avatar

physique

N’est pas le reflet du corps

Je cache ce corps, un corps que j’ai pourtant désiré affiner, efféminer. Pourtant, sur ce corps il y a des choses que je veux cacher, les marques de mon ancienne vie, des marques qui font de moi une chose, un bien et non un être humain.  Dans le creux du dos j’ai un tatouage écarlate, une femme enlacée par deux serpents, en d’autres termes, moi qui était soumise à mes ancien maître. Ce tatouage est fait pour que je ne puisse jamais oublier cela, voilà pourquoi je le cache, en plus de marques de corde ou de coup de fouet.  Avec une tenue qui couvre assez bien mo corps,  on pourrait me confondre avec une femme. Mon visage a subi quelques ajustements, afin de le féminiser, n’ayant dû qu’apprendre à l’épiler, l’entretenir et le maquiller comme il le faut. Ma chevelure d’ébène ayant été traité pour grandir et obtenir un long rideau soyeux et brillant, tombant jusqu’aux hanches.

Ma peau a blanchi, du fait d’avoir passé six longues années à ne sortir que la nuit, mon corps ayant simplement suivit ce mode de vie. Cette peau va certainement rougir maintenant que je vis dans un endroit où le soleil brille fort.  Mes doigts sont fin, par des massages quotidiens et un contrôle stricte de mon alimentation, j’ai pu avoir des doigts de femme, les ayant utilisé pour différents travaux et possédant une certain dextérité. Cependant, comme les muscles de mon corps, je suis faible, ma force ayant fondue pour ne pas être une femme épaisse, cela était aussi le souhait de mes maîtres, sans doute pour faciliter ce moment.  Ils ont misé bien plus sur un corps gymnastique, un corps souple et vif, endurant à l’effort.  

Mon corps est imberbe, on peut dire que les moyens ont été utilisés pour garantir un succès dans leurs entreprises.  Ce qui m’a mit la puce à l’oreille sur un changement physique c’est ce qui me sert de pied, des sabots d’âne, comme les comptines grecques.  J’aurais certainement peiné davantage si la sensation n’était pas identique que celle de marcher avec des talons.

Je ne suis pas bien grande, faisant un mètre quarante, pour un poids … je dois avouer ne plus avoir posé les sab … pieds sur une balance depuis un moment, je dois être certainement légère.

J’ai une poitrine, vous devez vous en douter, pour un corps masculin de base, c’est avec la chirurgie. C’est un bonnet D  si vous demandez la question et cela tiens bien en main, elle se moule à la perfection sur une robe ou un haut pas trop ample.
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histoire

Le crystal est aussi beau que fragile

Mon histoire n’a rien de bien intéressant. Ce sont de ses comptes que l’on raconte pour tirer des petites larmes, en se disant que ce ne sont que des histoires, que cela ne peut avoir existé. Alors voyez donc cela comme une fiction, une invention, cela vous fera moins mal que de savoir qu’il s’agit d’une vérité, la mienne.  

Débutons cela par une question, depuis quand mon âme m’a crié que j’étais une femme. Aussi lointain que je me souvienne, cela a toujours été présent au fond de moi, comme un appel sourd, que je ne pouvais entendre. Ma famille n’étais pas particulièrement pauvre, ni particulièrement riche, le juste milieu. J’avais  une grande sœur que j’admirais, qui était toujours souriante et positive. Moi, je ne me sentais jamais bien quand on me disait « un garçon fait cela, un garçon fait ceci », je me retrouvais bien plus dans les activités féminine.

En termes d’entourage, j’avais bien plus de fille que de garçon. Très jeune j’avais déjà un attrait pour la couture, j’étais douée avec un fil et des aiguilles, recousant les peluches et me faisant remercier par les filles et charrié par les garçons.

Je faisais souvent tout un cirque quand il fallait couper mes cheveux, désirant avoir les même que ma grande sœur, si bien qu’à un moment mes parent décidèrent de les laisser pousser. Je les attachais en queue de cheval pour que cela ne fasse pas trop féminin. Je manquais de confiance en moi pour totalement m’assumer.

Au lycée, cela ne fut pas plus joyeux, je travaillais beaucoup et ne pouvais supporter de voir des camarades se faire rabaisser, alors qu’ils ne causaient aucun trouble si ce n’est ne pas suivre le cours.  A chaque année c’était la même spirale, j’étais élu délégué et me prenait les balles perdues, tout en me faisant insulter. C’était une place ingrate, mais personne ne la voulait. En troisième année, je finis par faire une crise d’angoisse. Le psychologue de l’établissement vint à discuter avec moi et ce fut mon introspection. Le fait de parler avait comme brisé tous les cadenas qui m’empêchaient d’entendre mon âme. Quelques mois après je vins à prendre la décision de parler avec mes parents sur l’envie d’être une femme.  

Même avec le soutien du psychologue, cela fut un désastre. Ma grande sœur fut certainement la seule à me soutenir un peu, mes parents ne voulaient pas entendre parler de cette histoire, pensant que ce n’était qu’une lubie d’adolescent qui devait aimer les hommes.  Le choix de leurs en parler n’avait pas été fait de façon hasardeuse, j’avais anticipé le fait d’un tel rejet, c’était une de mes craintes. Ayant seize ans, je vins à me faire embaucher dans un restaurant, comme serveur. Je pus, avec la paie, avoir un logement, médiocre certes, mais un chez moi, venant à faire de nombreux sacrifice et utiliser tout ce qui était à disposition pour être autonome.

C’est à ce restaurant que je fis la connaissance de mes maîtres. Au départ ce n’étaient qu’un couple régulier, venant à échanger deux mots, avec un pourboire qui était conséquent. Puis ils me proposèrent un emploi chez eux, devenir un majordome, avec formation, logement et nourriture payés. Cela offrait une condition de vie plus acceptable, venant à faire quelques samedis et dimanches, avant de donner ma réponse.  Je finis par accepter et je fus apprenti majordome. La tentation de porter les tenues des servantes était très tentante, venant à en coudre une moi-même. Seulement elle fut découverte lors d’une inspection, ayant dû la cacher en vitesse dans une boite qui était mal fermée. On pensait tout d’abord que j’avais volé la tenue, mais très vite la suspicion vint à disparaitre, laissant place à des questions gênantes. Ne voulant pas perdre mon emploi en me taisant, je finis par répondre. Je m’attendais à me faire virer, mais ce fut le cas contraire, la maîtresse de maison venant à alléger mon temps de travail pour s’occuper de moi, devenant un professeur sévère pour faire de moi une servante convenable pour la famille.

Au fil des années, mon travail de majordome s’estompa pour devenir celui d’une servante spéciale, étant tout en bas de la hiérarchie dans la demeure. Si au départ on me formait aux tâches des servantes, on m’apprit aussi  accompagner monsieur ou madame aux soirées mondaine, ingurgitant les us et coutumes de ce monde spécial. En privé on vint à m’utiliser comme jouet, en échange de tout cela je voyais mon corps se féminiser, ma gestuelle et mon dialecte évoluer, cela semblait être un prix à payer pour voir mon souhait se réaliser aussi vite, là où je serais encore à servir dans le restaurant et économiser le moindre centime.

A vingt-deux ans, le couple vint à passer à un stade supérieur, me faisant signer un contrat de servitude. Ce contrat qui n’est que tacite et vous fait entrer dans le statut de simple esclave. Je n’eus pas le droit à une version douce, mais bien une des plus déviantes et sombre, en échange ? Une féminisation plus accrue. La carotte et le bâton. J’avais tellement changé en cinq ans que je ne pouvais refuser cette tentation, je savais qu’en signant ce papier, je signais avec les démons, mais mon âme pouvait être maudite, tant qu’elle pouvait s’extérioriser pleinement.  Mon tatouage fut fait après la signature, scellant ce contrat à même ma peau.  Dès lors je devins un simple objet, pour divertir des personnes ou alors pour accomplir des tâches que les serviteurs ne faisaient pas, ses derniers me laissant souvent faire les achats quand il neigeait ou quand la tempête grondait. Tout le monde utilisait mon nouveau statut d’esclave à ses fins.

Le couple, devenu mon maître et ma maîtresse, ne mentirent pas sur ma féminisation, ils tenaient parole sur leurs engagements, ce qui n’était pas si mal en fait.Ils vinrent à changer mon prénom, adieu l'ancien pour prendre celui de Cassiopée. Bien évidement je n'eus pas mon mot à dire, même si j'aimais ce prénom. La moindre erreur était punis, des châtiments souvent corporels, quand on ne jouait pas avec mon esprit, comme cette fois où ils m’ont privés de mes sens pendant quelques heures, cela m’avais presque rendu fou.  En émiettant un peu plus mon être, je pouvais sublimer mon âme, pour trouver du réconfort à ma situation.

Puis vint cet instant fatidique. Mes maîtres désiraient passer une soirée en Floride et pour ce faire, ils ne prirent pas l’avion, mais le bateau, un bateau privé avec quelques gardes du corps et un chauffeur grassement payé pour la course. Cela ne m’avait pas paru suspect, ils étaient des fois extravaguant, la richesse sans doute. Ils m’avaient demandé de porter une robe blanche, avec des talons. Le voyage dut pénible avec les ballottements, faisant de mon mieux pour ne pas casser un talon ou tomber.  

S’en suivit l’ultime jeu morbide. Mon maître vint à me bader les yeux, alors que ma maîtresse me mettait un collier relié à une chaîne. Alors qu’ils me liaient les poignets et les chevilles avec des morceaux de tissus fin, l’air devins lourd, la tempête menaçait, nous étions dans le triangle des Bermudes après tout. Puis vint la révélation, ma maîtresse venant à me dire que j’étais une bonne esclave, mais comme tout amusement, elle avait fini par se lasser, venant à dire que tout jouet inintéressant devait finir par être jeté. C’est à ce dernier mot que je fus étranglée, sentant un poids au bout de la chaîne me faire passer par-dessus bord, alors que le bruit du moteur se faisait entendre.

Le contact de l’eau et la sensation de toujours m’enfoncer davantage me fit réaliser qu’ils comptaient me tuer dans cet endroit. Ils étaient riches, mais ma parole pouvait être entendue si je parlais de tous les sévices que j’avais subit en échange de ce corps. Je me débâtais, finissant par réussir  me défaire de toute mes entraves et remonter à la surface, les vagues venant  grandir sous cette tempête qui arrivait si brutalement.

Je luttais de toutes mes forces avant de sentir mon corps si lourds et sombrer dans l’eau qui me glaçait les os.

Quand je repris connaissance j’étais devant un juré, reconnaissant une des figures de la mort. Je me mis à trembler de peur, pleurant et gémissant de terreur à l’idée que je sois finalement morte. Je me mis à prier n’importe quelle divinité pour ne pas être jugée, je désirais vivre.  Puis la vision devins trouble, me sentant nauséeuse avant de tomber dans les pommes.
 
Je vins à me réveiller sur la plage, venant à tousser des gerbes d’eau salée. La première chose que je fis fut de me palper, comme pour vérifier que j’étais encore vivante, pleurant de joie. L’instant d’euphorie fut de courte durée quand je voulus me lever et me vautrais misérablement, constatant la transformation de mes pieds. Je compris que ce qui semblait être une hallucination devait avoir eu lieu. Je ne pouvais savoir si cette forme était une réponse à mon souhait ou alors une malédiction pour m’être affranchis de ce jugement. Le fait d’être nue ne me dérangeait pas beaucoup, ma gorge se resserrant en pensant tout ce que j’avais enduré.  

Je finis par errer dans les alentours cherchant de coin me vêtir ou m’armer pour me défendre. Je fis la rencontre d’autres humais, mais ils se mirent à me fuir, criant à l’onoscèle. Je me rendis compte que parler m’était difficile, venant à prendre un vêtement qu’ils avaient laissés, une tenue de femme, mais cela était mieux que rien.  Je vins à m’éclipser, n’aimant pas l’idée qu’ils reviennent en nombre pour me tabasser.

La nuit j’eus du mal à voir et une odeur alléchante vint à mes narines, venant à trouver au sol un truc que je m’empressais de manger, ayant terriblement faim. La lune vint à éclairer mon repas, un cadavre encore chaud, visiblement tué par un animal. J’eus un réflexe humain, venant observer mes mains ensanglantée, mon esprit était révulsée à l’idée d’avoir mangé un corps, mais mes sens eut étaient en extase. Une torche se mit à m’éclairer, sans réfléchir, je me mis à détaler, entendant les lances siffler autour de moi.  Ils devaient penser que je l’avais tué.

Ce ne fut qu’une fois à l’abri, que je vins à lutter contre mon dégoût humain pour lécher mes doigts, je trouvais du plaisir à avaler le sang, cela comblait ma faim. Je me fis violence pour lécher la moindre trace de sang.  Je fis le point avec moi-même, ce qui avait été dit  mon encontre.

Onoscèle, ce terme ne m’était pas inconnu. Fouillant dans la mémoire je parvins à trouver la réponse et vint à tenter de me blesser, me griffant les poignets telle une folle. Ce ne fut qu’après cette vaine folie que mon esprit redevint calme, vide. J’étais à présent un vampire de l’antiquité, un être se nourrissant du sang et de la chair de ses victimes, une séduisante chasseuse. J’eus un sourire amer en me disant que cela n’avait pas changé mon sexe, comme quoi les mythologies n’ont qu’une part de vérité. A moins que je sois suffisamment féminine pour être considérée comme une femme.

J’ai aussi tuée pour la première fois, un groupe était proche de la grotte où j’avais élu domicile, visiblement il y avait une esclave, elle était mal traitée, ce qui me mis dans une colère noire. Je ne contrôlais pas ma force et vint à briser la nuque d’un des hommes, prenant une lance pour en tuer un second, els autres se mirent à fuir et l’esclave eut un visage terrifiée. Cela me fit très mal. Je venais de l’aide et elle me regardait comme si j’étais la pire chose au monde. Sous ce regard  je me mis à fuir au loin, retenant des larmes et des cris. Venant à plonger dans un lac et trouver refuge dans une grotte souterraine où je pus crier et pleurer de tout mon être. Après la peine, la peur revint à la charge, n’ayant pas oublié cette sensation d’euphorie croissante alors que je tuais les hommes. Comme le voulait la légende, j’étais à présent une tueuse née, devant éviter une plante nommée mauve, qui était un sérum de vérité pour ma nouvelle nature.

Je ne savais pas où tout cela allait me mener, ni même si l’entité qui avait tenté de me juger allait convoquer des sbires pour venir me chercher et me soumettre au jugement que j’avais esquivé.  Je préférais ne plus penser à tout cela, juste penser à comment survivre, sans avoir à tuer des humains.

Je ne savais pas encore toute l’étendue de ce nouveau monde, ses bienfaits et ses méfaits, ses alliés comme ses ennemis.

hors jeu

parce qu'en général t'as une vie à côté

Je me prénomme Fiela et j'ai 28 ans. Je suis arrivé sur Eviala grâce à un top site. Je le trouve  sympas et je serais présent régulièrement. Ah oui, je suis aussi une chose tout mignonne.
©️️linus pour Epicode
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Jebediah Lewis

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Date d'inscription : 01/12/2017

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MessageSujet: Re: Cassiopée Winterfall.[finit]   Cassiopée Winterfall.[finit] Icon_minitimeSam 23 Déc 2017 - 16:53

Désolé du temps de réponse, petits problèmes de santé et personnels :/. Mais enfin, je peux finir ton calvaire et t'annoncer :


Bienvenue sur EvialaPrintemps

Félicitations pour ta validation ! La prochaine étape est l'ouverture de ta fiche de liens, indispensable pour te créer tout plein de relations. Tu auras également la possibilité d'ouvrir ta fiche de topics, pour ne pas t'y perdre avec tous tes RP. N'oublie pas de remplir ton profil afin que toutes les informations soient plus faciles à trouver. Amuse-toi bien sur Eviala !
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